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1.
Health sci. dis ; 19(2): 9-20, 2018. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1262793

ABSTRACT

Introduction. Dans le cadre de l'ambition globale de mettre fin à l'épidémie du VIH, le Togo a débuté en 2016 la stratégie « Tester et traiter » proposée par l'ONUSIDA pour les cibles telles que les femmes enceintes, couples sérodiscordants, enfants, patients coinfectés TB/VIH, populations clés. Ainsi la stratégie nationale prévoit d'atteindre 90% de couverture de traitement antirétroviral (TARV) à l'horizon 2020. Le passage à grande échelle du TARV peut occasionner une augmentation du risque d'émergence des résistances du VIH aux ARV (RDVIH). La résistance pouvant mettre en échec l'impact de l'accélération en cours du Traitement ARV, nous avons évalué au Togo les indicateurs d'alerte précoce de la pharmacorésistance du VIH (IAP). C'est une stratégie reconnue efficiente dans les pays à ressources limitées pour assurer l'efficacité des protocoles antirétroviraux de première ligne moins dispendieux. Méthodologie. Nous avons en juin 2017 suivant les normes de l'OMS mené une étude rétrospective dans 80 sites de TARV représentatifs des 06 régions sanitaires du pays. Les cinq IAP suivants ont été étudiés : IAP1 : Retrait des médicaments ARV dans les délais ; avec comme seuils : Rouge <80% ; Orange 80­90% ; Vert >90%. IAP2 : Rétention sous TARV après 12 mois d'initiation du traitement avec pour seuils : Rouge <75%; Orange 75­85%; Vert >85%. IAP3 : Ruptures de stocks de médicaments avec comme seuils : Rouge <100%; Vert =100% sans rupture de stock en 2016, IAP4: Pratiques de prescription à l'initiation du traitement ARV avec comme seuils: Rouge <100%; Vert =100% de prescription conformes aux directives nationales. IAP5a : Couverture de réalisation des charges virales avec rendu des résultats avec comme seuils : Rouge < 70%, Vert > 70% des patients ayant une charge virale disponible à 12 mois de TARV. IAP5b: suppression de la charge virale à 12 mois avec pour seuils: Rouge <75%, Orange 75-90%, Vert >90% de suppression de charge virale à 12 mois de TARV, Résultats. Seuls 5468 patients (67%) ont retiré leurs médicaments dans les délais. Cependant 91% (3429/3767) des personnes initiées au TARV sont restées sous traitement douze mois après (IAP 2) mais seulement 5,2% (178/3429) des PVVIH dans le besoin ont eu accès à l'examen de la charge virale, (5a). Seuls 13 sites parmi les 36 ayant un score vert à l'IAP2 avaient atteint l'objectif de suppression de la charge virale (IAP 5b.). Seuls 63 sites sur les 80 ont atteint le seuil de l'IAP et 36/80 enquêtés ont pu atteindre l'objectif de l'IAP2. Conclusion. Nos résultats font craindre un risque d'émergence de la pharmaco-résistance du VIH sur le plan national. Les pratiques de dispensation sont conformes aux directives nationales, la rétention sous TARV à 12 mois est excellente, mais le respect des délais de retrait des médicaments ARV et les ruptures de stocks dans l'approvisionnement des ARV, constituent des facteurs majeurs dans plusieurs sites, pouvant permettre l'émergence de la pharmaco-résistance du VIH au Togo. La couverture de l'examen de la charge virale est très faible et nécessite en urgence d'être étendue


Subject(s)
Anti-Retroviral Agents/adverse effects , Anti-Retroviral Agents/pharmacology , Anti-Retroviral Agents/therapeutic use , Drug Resistance , HIV Infections/therapy , National Health Programs , Togo
2.
West Sfr. J. Pharm ; 26(2): 103-115, 2016.
Article in English | AIM | ID: biblio-1273613

ABSTRACT

Background: Lifelong usage of antiretroviral drugs (ARVs) put them among the most therapeutically risky drugs for clinically significant drug interactions (CSDIs). It is; therefore; essential to document the types of antiretroviral (ARV) and non-ARV drugs co-prescribed (CPD) for PLWHA in order to facilitate the assessment of clinical significance of their interactions. Objectives: To document the most commonly prescribed ARV drugs and CPD among PLWHA and to assess the frequency of prescriptions of the first; second and third lines ART regimen. Methods: All the prescriptions received between January 2009 and June 2014 totaling 22;458 from 500 patients registered in APIN clinic in 2009; were reviewed with a view to documenting the most and the least prescribed CPD and ARV drugs. Results: Zidovudine/lamivudine/nevirapine (AZT/3TC/NVP) (4996/9302; 53.71%) was the most commonly prescribed ART regimen followed by tenofovir/emtricitabine/efavirenz (TDF/FTC/EFV) (1468/9302; 15.78%)and zidovudine/lamivudine/efavirenz (AZT/3TC/EFV) (683/9302; 7.34%). Abacavir/lamivudine/saquinavir/ritonavir (ABC/3TC (SQV/RTV) (1/9302; 0.01%) was the least prescribed ART regimen. The first line ART regimens (8574/9302; 92.17%) were mostly prescribed; followed by the second line (698/9302; 9.5%). Cotrimoxazole (7546/9302; 81.12%) was the most common non-ARV drug co-prescribed with ART regimen; followed by multivitamin (433/9302; 4.65%) and rifampin (316/9302; 3.40%). Conclusion: Co-trimoxazole was the most commonly co-prescribed non-ARV drug. Zidovudine/ lamivudine/nevirapine was the most commonly prescribed ART regimen. Considering the wide range of non- ARV drugs co-prescribed with ART regimens in this study; evaluation of their potential interactions is hereby suggested


Subject(s)
Anti-Retroviral Agents/adverse effects , Drug Interactions , Hospitals , Prescriptions , Teaching
4.
West Sfr. J. Pharm ; 24(1): 30-42, 2013. tab
Article in English | AIM | ID: biblio-1273594

ABSTRACT

Background: Over 415;000 HIV-infected patients are receiving antiretroviral therapy (ART) in Nigeria but studies documenting their adverse reactions are limited. Objectives: This study determined the incidence and type of ADRs of severity grades II to IV in ART patients following pharmaceutical care directed active ADR surveillance program in Nigeria. Methods: This was a longitudinal study. A study-specific pharmaceutical care daily work sheet and national ADR reporting form were used for ADR screening and reporting respectively. Study population included 73;589 ART patients who were screened for ADR from April 2009 to December 2010 in 69 HIV treatment centres. All individual case safety reports (ICSRs) of severity grades II to IV in these patients were collated and analyzed. Chi-square was used to test the association between groups of variables at 95 Confidence Interval. Results: A total of 4600 ICSRs of severity grades II to IV reported were analyzed. Mean age of patients was 35.5(95CI; 35.2-35.9) years; 68.1 were females; and 7002 ADRs were reported; an average of 1.5 ADR perpatient. ADR incidences were 18.2 for d4T/3TC/EFV; 13.9 for d4T/3TC/NVP; and 4.4 for AZT/3TC/NV Pregimens; however overall incidence was 6.3. Major reported ADRs included skin rash (16.5); peripheral neuropathy (12.7); and headache (9.4). ADR occurrence was associated with specific ART regimens; concomitant medicines and age groups (p0.05); unlike gender. Lipodystrophy was associated withd4T/3TC/NVP [OR


Subject(s)
Anti-Retroviral Agents/adverse effects , Anti-Retroviral Agents/pharmacology , Anti-Retroviral Agents/therapy , Drug-Related Side Effects and Adverse Reactions
6.
Mali méd. (En ligne) ; 22(1): 39-43, 2007.
Article in French | AIM | ID: biblio-1265499

ABSTRACT

Objectif : évaluer la tolérance du traitement antirétroviral (ARV) chez les patients traités à Cotonou pour l'amélioration de la qualité de leur suivi. Méthodes : étude rétrospective concernant les patients VIH+ d'âge ≥ 15 ans, traités par les ARV entre février 2002 et janvier 2004 qui ont répondu à au moins un rendez-vous de suivi. Les effets indésirables (EI) signalés par le malade ou constatés par le médecin ont été analysés. Résultats : Sur 130 patients sélectionnés, 62,3% recevaient une trithérapie ARV avec inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse et 37,7% une trithérapie avec inhibiteur de protéase. 75,4% ont présenté au moins un EI. L'EI a été grave dans 6 cas (4,6%). La fréquence des EI était significativement différente selon les médicaments utilisés. Les troubles fréquents étaient neurosensoriels (64,6%), digestifs (34,6%) et dermatologiques (14,6%). 2/3 des patients ont présenté les EI dans les 15 premiers jours du traitement. Les patients ont été compliants. Un seul a arrêté le traitement de son propre chef. Conclusion : la fréquence et la nature des EI observés prédisposent les patients à une rupture d'observance. Leur suivi doit donc comporter une éducation et une surveillance orientées par le profil des EI identifiés


Subject(s)
Acquired Immunodeficiency Syndrome/therapy , Anti-Retroviral Agents/adverse effects , Benin , Drug Tolerance , HIV Infections/therapy , Medication Adherence
11.
Thesis in French | AIM | ID: biblio-1277382

ABSTRACT

Notre etude etait retroprospective; transversale et descriptive. Elle s'est deroulee du 1er decembre 2001 au 31 mars 2005. L'objectif general consistait a etudier les effets secondaires des antiretroviraux chez les enfants suivis au service de pediatrie de l'Hopital Gabriel Toure pendant la meme periode. Nous avons enregistre 300 malades et pour chaque patient; nous recueillions les donnees sociodemographiques; cliniques; immunologiques; biologiques et les effets secondaires ainsi que leurs implications. Dans notre etude; le sexe masculin etait majoritaire 58;3; la tranche d'age la plus representee etait comprise entre 18 mois et 5 ans. La moitie des enfants etaient orphelins. Le VIH1 etait predominant 95;3. L'anemie a ete la pertubation hematologique la plus retrouvee 85;7. Les effets secondaires sont apparus chez 35;3 des enfants. La majorite des effets secondaires cutanessurvenaient dans la periode allant de la mise sous ARV; a un mois. Le plus represente etait le rash cutane 20 et une forme grave de toxidermie : le syndrome de lyell a ete retrouve dans 5;45 des cas. Les troubles digestifs survenaient generalement dans les trois premiers mois suivant la mise sous traitement. Nous avions note 21;82 des cas. Les troubles digestifs survenaient generalement dans les trois premiers mois suivant la mise sous traitement. Nous avions note 21;82 des cas. Les troubles digestifs survenaient generalement dans les trois premiers mois suivant la mise sous traitement. Nous avions note 21;82des cas. Les troubles digestifs survenaient generalement dans les trois premiers mois suivant la mise sous traitement. Nous avions note 21;82 de cas de diarrhee et les vomissements survenaient dans 25;45 de cas a un mois de traitement. Tandis que a trois mois de traitement; la diarrhee a ete le trouble digestif le plus retrouve avec 19;4 de cas. La neuropathie peripherique a ete le seul effet secon-daire neurologique retrouve dans 12;5 de cas apres douze mois et 18;5 de cas apres dix huit mois sous ARV. L'anemie liee au traitement survenait apres plus d'un an de traitement. Elle etait retrouvee chez 2 enfants soit 18;2 de cas et avait necessite une transfusion sanguine.La lypodystrophie etait retrouvee a 12 mois de traitement 37;5 et a 18 mois de traitement 18;2 des cas. La toxicite hepatique a ete observee soit 27;3 a 18 mois de traite-ment. Le protocole therapeutique zidovudine-didanosine-nevirapine etait la combinaison la plus retrouvee lors des effets secondaires. La mauvaise observance due aux effets secondaires a un mois representait 36;36 et l'arret du traitement a ete retrouve dans 10;91 des cas. Concernant les mesures strategiques devant les effets secondaires; dans 10;91 des cas; nous avons du remplacer un ARV et dans 5;45 des cas; nous avons ete obliges d'interrompre momentanement le traitement antiretroviral. Dans notre serie; 40 des patients a un mois de traitement et 81;8 a dix huit mois ne presentaient pas de deficit immunitaire au moment de l'effet secondaire


Subject(s)
Acquired Immunodeficiency Syndrome , Anti-Retroviral Agents/adverse effects , Child
12.
Thesis in French | AIM | ID: biblio-1277380

ABSTRACT

Les infections opportunistes jouent un role important dans l'aggravation clinique; biologique et dans la morbidite et la mortalite liees au VIH/SIDA. Nous avons realise une etude retrospective et prospective entre Octobre 2001 et Novembre 2004 au sujet de 256 patients traites par les ARV au Mali. L'objectif de cette etude etait d'evaluer la prevalence et des infections opportunistes ainsi que leur evolution au cours du traitement ARV. Nous avons analyse les donnees cliniques et biologiques des patients; de meme que le typeet le devenir des infections opportunistes preexistantes et emergentes sous traitement ARV. Notre population d'etude etait dominee par les femmes avec un sexe ratio de 1;06. Au debut de l'etude; 43;4 des patients presentaient au moins une infection opportuniste; faites de lesions dermatologiques (48;64); d'infections digestives (47;74) et respiratoires (15;31Au terme du premier semestre; la frequence des I.O etait de 20;3. Nous avons note l'emergence de 24 nouvelles I.O; representees en majorite par les pneumopathies bacteriennes (11;9); le zona thoraco-abdominal (4;2); et la tuberculose pulmonaire (2;5). Apres un an de suivi la frequence des I.O etait 8;22; representee principalement par la tuberculose pulmonaire (5;48). Au terme de 18 mois de traitement ARV nous avons observe une seule I.O (toxoplasmose cerebrale); et au-dela de deux ans nous avons note la quasi disparition des infections opportunistes. L'emergence des I.O tant a l'inclusion que pendant le traitement ARV etait plus frequente chez les patients ayant un deficit immunitaire marque (CD4200/mm3) et chez les mauvais observants aussi bien au traitement ARV qu'a la prophylaxie au SMX/TMP. Nous avons note un nombre de perdus de vus tres important (62;55) sur l'ensemble de la periode d'etude. Cette etude a affirme une fois de plus l'interet de la prise en charge precoce des PVVIH; de l'observance optimale au traitement ARV et de la chimioprophylaxie dans la reduction de l'emergence des I.O


Subject(s)
Anti-Retroviral Agents/adverse effects , Antiretroviral Therapy, Highly Active
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